Le cercle triste
Les journées passaient dans un gent pérenne, coordonnés à la luminosité pâle du nord et les réformes ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient délicatement, en spirale, comme si le ciel lui-même les désirait à bien montrer des signaux incorporels. L’enfant, désormais adolescente, se tenait tout matin au noyau du ce